Dans l’optique d’une future exploitation agricole en Corse, le but de ce voyage est de découvrir, à travers deux visions professionnelles corrélées (production et commercialisation), les formes d’agricultures et de valorisations grâce à l’agrotourisme, rencontrées sur le pourtour de l’arc méditerranéen.
Pourquoi en Méditerrannée ?
L’espace méditerranéen a de tout temps été convoité, occupé et cultivé, l’agriculture reposant essentiellement sur le triptyque Vigne, Olive, Blé.
Un ensemble de Terroirs exprimant une base commune rendue possible grâce à la chaleur désertique du Sahara ou du Sinaï tempéré par des massifs rocheux (Rif, Alpes, Pyrénéen…) et des précipitations océaniques.
Berceau des civilisations modernes et carrefour culturel, cette mer bordant 3 continents, intrigue de par sa mixité.
Au fil du temps et des progrès de navigations, les échanges entre les peuples se sont intensifiés.
L’apogée de la civilisation méditerranéenne sous l’ère d’Al Andalus en est l’exemple le plus frappant.
Aujourd’hui Andalousie, cet ensemble des terres de la péninsule Ibérique et de la Septimanie furent sous domination musulmane au Moyen Âge (711- 1492), faisant cohabiter 3 religions et développant les Sciences, l’Art, la Médecine, l’Agronomie.
Vestige des grandeurs et démesure des civilisations, romaines, grecques ou arabes, chacun voulant figer sa gloire dans l’Histoire.
Beautés humaines et naturelles, socle et croisement des trois grandes religions, cette mer pousse à la curiosité.
C’est le seul espace clos au Monde, où se mêlent encore tant de contrastes, mais d’où émerge une identité commune faisant face à la même menace de pression immobilière spéculative; victime de sa propre beauté, au détriment des terres agricoles.
Nous construisons aujourd’hui des bungalows bétonnés, pour consommateurs grisés en manque de rayons U.V, là où nos ancêtres construisaient l’Alhambra, le Panthéon ou la librairie d’Alexandrie.
But du voyage
C’est dans l’optique d’en tirer le meilleur pour notre future exploitation que nous souhaitons rencontrer ceux qui essayent de continuer à produits des denrées alimentaires de qualités, en y associant un tourisme vert pédagogique, favorisant ainsi la valorisation et les ventes directes.
C’est aller directement à la rencontre des acteurs du monde agricole méditerranéen et de leurs circuits de distribution afin de nous donner une vision que la Corse y occupe.
Découvrir et partager les techniques traditionnelles et modernes grâce au système du Wwoofing (travail agricole hebdomadaire
en échange du gite et du couvert) que l’on soit dans les pays du Nord ou du sud, rendre ainsi la route moins solitaire.
Medina
Les Romains la surnommaient Mare Nostrum, «Leur» Mer, conquise par les armes. Nous voulons nous, la faire «Notre» à notre manière. Nous voyons cet espace de 2,5 millions de Kms2 comme un immense marché composé d’artisans, d’artistes, de producteurs proposant des produits sélectionnés pour leurs qualités et leurs origines et essayant de trouver une place dans cette médina à ciel ouvert.
Itinéraire
S’imaginer une petite vague qui part du Golfe de Purtichju, longeant les iles Baléares et l’Andalousie, repoussée par les houles océaniques du détroit de Gibraltar, elle s’éloigne des conflits terrestres et grandit sur les rives du Moyen-Orient. Elle se fraye un chemin entre les ilots grecs pour remonter la mer Adriatique. D’un coup de pagaie, elle passe le canal de Venise pour longer la botte italienne, se réchauffer aux abords de l’Etna, passer les iles Lavezzi, pour finalement, pleine de fierté, finir sa course, surfée dans le golfe de Capo di Feno.
Pourquoi en Méditerrannée ?
L’espace méditerranéen a de tout temps été convoité, occupé et cultivé, l’agriculture reposant essentiellement sur le triptyque Vigne, Olive, Blé.
Un ensemble de Terroirs exprimant une base commune rendue possible grâce à la chaleur désertique du Sahara ou du Sinaï tempéré par des massifs rocheux (Rif, Alpes, Pyrénéen…) et des précipitations océaniques.
Berceau des civilisations modernes et carrefour culturel, cette mer bordant 3 continents, intrigue de par sa mixité.
Au fil du temps et des progrès de navigations, les échanges entre les peuples se sont intensifiés.
L’apogée de la civilisation méditerranéenne sous l’ère d’Al Andalus en est l’exemple le plus frappant.
Aujourd’hui Andalousie, cet ensemble des terres de la péninsule Ibérique et de la Septimanie furent sous domination musulmane au Moyen Âge (711- 1492), faisant cohabiter 3 religions et développant les Sciences, l’Art, la Médecine, l’Agronomie.
Vestige des grandeurs et démesure des civilisations, romaines, grecques ou arabes, chacun voulant figer sa gloire dans l’Histoire.
Beautés humaines et naturelles, socle et croisement des trois grandes religions, cette mer pousse à la curiosité.
C’est le seul espace clos au Monde, où se mêlent encore tant de contrastes, mais d’où émerge une identité commune faisant face à la même menace de pression immobilière spéculative; victime de sa propre beauté, au détriment des terres agricoles.
Nous construisons aujourd’hui des bungalows bétonnés, pour consommateurs grisés en manque de rayons U.V, là où nos ancêtres construisaient l’Alhambra, le Panthéon ou la librairie d’Alexandrie.
But du voyage
C’est dans l’optique d’en tirer le meilleur pour notre future exploitation que nous souhaitons rencontrer ceux qui essayent de continuer à produits des denrées alimentaires de qualités, en y associant un tourisme vert pédagogique, favorisant ainsi la valorisation et les ventes directes.
C’est aller directement à la rencontre des acteurs du monde agricole méditerranéen et de leurs circuits de distribution afin de nous donner une vision que la Corse y occupe.
Découvrir et partager les techniques traditionnelles et modernes grâce au système du Wwoofing (travail agricole hebdomadaire
en échange du gite et du couvert) que l’on soit dans les pays du Nord ou du sud, rendre ainsi la route moins solitaire.
Medina
Les Romains la surnommaient Mare Nostrum, «Leur» Mer, conquise par les armes. Nous voulons nous, la faire «Notre» à notre manière. Nous voyons cet espace de 2,5 millions de Kms2 comme un immense marché composé d’artisans, d’artistes, de producteurs proposant des produits sélectionnés pour leurs qualités et leurs origines et essayant de trouver une place dans cette médina à ciel ouvert.
Itinéraire
S’imaginer une petite vague qui part du Golfe de Purtichju, longeant les iles Baléares et l’Andalousie, repoussée par les houles océaniques du détroit de Gibraltar, elle s’éloigne des conflits terrestres et grandit sur les rives du Moyen-Orient. Elle se fraye un chemin entre les ilots grecs pour remonter la mer Adriatique. D’un coup de pagaie, elle passe le canal de Venise pour longer la botte italienne, se réchauffer aux abords de l’Etna, passer les iles Lavezzi, pour finalement, pleine de fierté, finir sa course, surfée dans le golfe de Capo di Feno.